Test de Quark XPress 10

Léo Tairraz |
XPress est aujourd'hui l'un des logiciels de PAO les plus anciens. Comme le bon vin, le metteur en page de Denver s'est bonifié avec le temps, n'échappant à aucune critique de ses utilisateurs, mais également salué comme un outil novateur, même par ses plus ardents détracteurs. XPress est aujourd'hui un outil complet et performant pour la publication papier et vers la plupart des liseuses électroniques, dont bien entendu l'incontournable iPad.

Durant deux ans, et d'après les dires de Quark, ses développeurs ont travaillé d'arrache-pied pour actualiser un demi-million de lignes de code et en ajouter 350 000, faisant enfin passer XPress de Carbon à l'environnement Cocoa. Sur le fond, ce grand chantier n'occasionne pas de profonds bouleversements sur le logiciel. Il a surtout permis à Quark de faire un grand ménage sur les fondations d'XPress, une cure de jouvence salutaire.

Une interface revue, mais pas transformée - Cliquez pour agrandir

Interface

L'interface utilisateur a été revue et corrigée sans pour autant tourner le dos au passé. Quark n'a jamais vraiment bousculé les habitudes de ses utilisateurs et cette nouvelle interface s'appuie sur les palettes déjà en place sur la version 9.

L'environnement est désormais de type "intégral" et enveloppe intégralement l'espace de travail, sans doute pour coller aux standards en matière d'ergonomie. En pratique nous sommes en fait dans un pseudo-espace intégral, l'astuce de Quark consistant par défaut à parfaitement encadrer l'espace de travail en élargissant les palettes.

Rien ne vient perturber les bonnes vieilles habitudes puisque les palettes sont disposées aux mêmes endroits. Elles restent détachables, ce qui permettra aux nostalgiques de conserver un aspect "classique" au logiciel. Ce nouvel habillage permet également de pouvoir très facilement personnaliser l'environnement de travail en fonction de la nature de la maquette en cours.

Les palettes d'outils peuvent se disposer droite ou à gauche via un bouton d'option et une nouvelle fonction de masquage automatique des palettes fait son apparition. Chaque ensemble de palettes pouvant se mémoriser, il est donc facile de se créer des groupes de palettes spécifiques (Typo, Image…) que l'on active à la volée, en évitant d'encombrer l'espace de palettes inutiles.

Un gros changement a été apporté à l'ancienne palette "Spécification" qui se nomme désormais "Mesure". Cette palette qui ferme l'espace de travail devient ainsi le véritable centre de commande du logiciel pour la plupart des éléments qui entrent dans la composition d'une page. Ses fonctionnalités s'adaptent en fonction de l'élément en cours d'utilisation par l'utilisateur. Pour le texte, la palette Mesure intègre donc tous les outils concernant l'édition de la typo (caractères, paragraphe, filets, tabulation, habillage, ombre portée…), mais également les outils d'édition du bloc. La palette mesure s'adapte donc à la volée en fonction de la nature du bloc sélectionné et évite ainsi de recourir aux menus et aux boîtes des dialogues.

La palette Mesure (ex Spécification) - Cliquez pour agrandir

La même palette Mesure dont le contenu change en fonction du contexte - Cliquez pour agrandir

Dopé au Xenon

Quark a donc revu le code de son logiciel et a surtout profité de cette refonte et du passage à Cocoa pour doter XPress d'un tout nouveau moteur graphique baptisé Xenon. Il offre un niveau de performances graphiques bien plus élevé que par le passé grâce à la prise en charge du multithreading et des configurations à plusieurs processeurs. Revers de la médaille, Xenon est exigeant en capacité RAM dans le cas de documents très complexes et comportant de nombreux imports graphiques.

Quark impose un minimum de 2 Go de RAM et OS X 10.6.7 pour fonctionner. C'est sans doute un prérequis pour des machines équipées de processeurs récents. Mais pour un vieux Mac Pro équipé de deux dual-core Xeon 2,66 GHz et de 16 Go de Ram, XPress 10 n'a montré qu'un niveau de performances légèrement supérieur à celui d'XPress 9 sur un fichier comportant de nombreuses pages et pas mal d’imports d'images. Le logiciel de Quark s'accommode donc en priorité des processeurs récents.

Avec le même document ouvert sur un iMac 27" doté d'un processeur Intel i5 2,9 GHz, XPress 10 prend un sérieux coup de fouet et voit son niveau de performance s'élever. Notre fichier se manipule tout d'un coup avec souplesse et légèreté, mettant ainsi en évidence les performances du moteur Xenon avec les processeurs d'architectures plus modernes et récentes.

Une des vertus de Xenon est de s'affranchir des limites liées aux formats natifs des fichiers graphiques. Dans le cas du format PDF, Xenon sait parfaitement interpréter les polices, les vecteurs, les espaces couleur et les calques présents dans les fichiers. Il sait également gérer nativement la transparence du format PDF et la mixer avec celles crées directement au sein du logiciel avec une gestion parfaite à l'export. La résolution adaptative, ensuite, lève les contraintes liées à l'affichage. Elle permet de restituer les images dans la résolution la plus élevée pour s'adapter à la valeur de zoom, au recadrage et à la position de l'image (bitmap ou vectorielle).


Compatible Retina

Parfaitement dans l'air du temps, XPress affiche avec une certaine fierté sa compatibilité avec les écrans Retina et les moniteurs très haute définition. La totalité des palettes et des boîtes d'outils ont été optimisées pour une meilleure visibilité avec un bien meilleur confort de travail à l'écran… et un vrai soulagement pour nos yeux.

Optimisations des outils

Difficile de rajouter des fonctionnalités à un logiciel que l'on peaufine depuis plus de 25 ans. Quark a surtout porté ses efforts sur l’amélioration de l'existant. L'environnement Cocoa permet à XPress de disposer d'un vrai mode plein écran instauré depuis OS X Lion.

Certaines palettes d'outils ont été améliorées comme le "Navigateur de Pages", l'"Aperçu avant impression" ou les options de la palette "Couleurs", redimensionnables et beaucoup plus confortables à consulter.

Des palettes de couleurs plus pratiques à l'usage
Nouvel aperçu avant impression

Les calques gagnent en puissance avec une très bonne gestion de la structure des éléments sur différents calques lors d'un copier/coller. Ou encore les gabarits qui supportent désormais l'utilisation de calques.

La gestion des courbes de Béziers et l'outil Plume évoluent avec la possibilité de fermer le tracé d'un objet ou encore de joindre et fermer le tracé de plusieurs objets. Autre petit bénéfice, l'alignement des blocs peut désormais se baser sur un bloc défini comme clé.

La gestion du format de fichiers Word permet d'importer les liens hypertextes et les images (sous la forme de blocs images ancrés au texte). La gestion des typos s'améliore avec le surlignement du texte où figurent des typos manquantes dans les blocs.

Texte surligné car typo manquante

Plus anecdotique, XPress s'enrichit d'un générateur de QR Code capable de contenir les URL, les SMS et les vCards. Pour l'heure, impossible de générer un QR Code vectoriel, mais uniquement un code image…

Générateur de QR Code

Côté multimédia, Quark a fait logiquement le choix de l'abandon du format Flash et du HTML 4 ainsi que du format eBook Blio. L'éditeur se concentrant désormais sur les formats PDF, ePub et HTML5. App Studio, toujours intégré au sein du logiciel et conçu pour la publication vers les terminaux mobiles, ne s'en trouve pas amoindri.

En revanche, très regrettable est l'abandon de la gestion des formats antérieurs à la version 7 du logiciel. Impossible d'ouvrir un vieux fichier créé sous XPress 3.32 ou un fichier XPress 7… à moins de conserver une version d'XPress 9. Si l'on peut comprendre le fait de ne pouvoir enregistrer les fichiers vers une très ancienne version d'XPress, l'inverse est tout bonnement incompréhensible. Quark a mis cela sur le compte de différences techniques trop importantes entre la nouvelle et les anciennes générations du logiciel.

Conclusion

XPress reste un logiciel puissant et moderne et simple d'approche, offrant un large éventail de possibilités pour tout ce qui touche à la PAO et à l'édition multimédia. Ici, pas d'abonnement, mais un achat de licence classique via le Web ou les revendeurs agréés. Et encore moins d'offres pour les créatifs désirant s'appuyer sur un système d'échange et de collaboration dans le nuage comme le propose Adobe et son Creative Cloud.

Sur ce point, Quark dispose d'un outil très professionnel, "Quark Publishing Platform", au travers duquel plusieurs utilisateurs peuvent participer et contribuer simultanément à un projet spécifique et assurer des mises à jour en temps réel des contenus et des maquettes, où qu'ils se trouvent.

À destination des entreprises et des groupes de travail, cette solution demeure encore coûteuse et pas franchement adaptée aux indépendants pour qui un tandem Quark et Dropbox pourra suffire pour l'échange de fichiers. Mais nous sommes toutefois loin de la notion de travail collaboratif. Il reste donc à Quark à définir son propre concept de travail créatif et collaboratif articulé autour de son propre Cloud pour essayer de faire revenir les brebis égarées chez son concurrent. Et peut-être à revoir son tarif, bien plus musclé que celui de son redoutable concurrent.

Deux avis valant mieux qu'un, un lecteur nous a signalé ses propres observations avec XPress 10, elles complèteront celles de ce test et pointent sur quelques petits dysfonctionnements sur certaines actions.

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avatar Emile Schwarz | 

>L'interface utilisateur a été revue et corrigée sans pour autant tourner le dos au passé.

MDI !!!

avatar Jiminy Panoz | 

"vers la plupart des liseuses électroniques, dont bien entendu l'incontournable iPad."

Me permets de corriger étant donné que nous devons bien faire la différence lors des formations que l'on donne : liseuse électronique =/= tablette. C'est important dans le sens où on n'a pas les mêmes contraintes et que si la personne qui produit du livre numérique en considérant que c'est kif-kif, il va droit dans le mur.

Sinon, j'aurais bien aimé un petit développement sur le sujet parce que, honnêtement, la gestion du standard EPUB dans quarkXpress a été catastrophique dans les versions 9... J'ai eu plusieurs cas où je suis carrément parti du PDF bon-à-tirer parce que c'était plus simple et rapide de le passer en EPUB de bonne qualité que de prendre le fichier Xpress comme source (c'est dire si le truc était vraiment catastrophique dans les versions précédentes, parce qu'on évite à tout prix de partir du PDF en règle générale).

Donc si quelqu'un a des éclaircissements par rapport aux améliorations concernant EPUB, je suis preneur, parce que j'en ai un peu marre de tirer la gueule quand un client m'envoie un qxp :-/

avatar PePeLaJoie | 

J'ai lu ceci http://www.noukicom.fr/2013/10/22/test-de-quarkxpress-10/

et j'arrive à deux conclusions:

- la plupart des nouveautés de QXP 10 existent dans InDesign depuis dix ans
- QXP 10 est bourré de bogues, de mauvaise gestion des fichiers à l'import et surtout à l'export, sans parler de l'EPUB. Je n'arrive pas à mettre la main sur une vidéo You Tube où lors d'un séminaire public aux USA rien ne fonctionnait en matière d'EPUB dans XPress et le résultat était catastrophique.

Donc, ce genre de test que vous publiez n'apporte rien car vous dressez la liste des fonctions mais ne les mettez ni en perspective dans la réalité du travail ni en comparant réelement avec son maître (on ne va pas dire concurrent hein sinon cela se saurait).

Bonne journée !

avatar PePeLaJoie | 

"L'environnement est désormais de type "intégral"

"nouvelle fonction de masquage automatique des palettes fait son apparition"

"Chaque ensemble de palettes pouvant se mémoriser"

"La palette mesure s'adapte donc à la volée en fonction de la nature du bloc sélectionné et évite ainsi de recourir aux menus et aux boîtes des dialogues."

"Il sait également gérer nativement la transparence du format PDF et la mixer avec celles crées directement au sein du logiciel avec une gestion parfaite à l'export"

"Les calques gagnent en puissance avec une très bonne gestion de la structure des éléments sur différents calques lors d'un copier/coller."

"La gestion des typos s'améliore avec le surlignement du texte où figurent des typos manquantes dans les blocs."

Tout cela est dans Indesign depuis au moins 10 ans !

"très regrettable est l'abandon de la gestion des formats antérieurs à la version 7 du logiciel." - Indesign ouvre tous ses fichiers depuis la première version.

"Difficile de rajouter des fonctionnalités à un logiciel que l'on peaufine depuis plus de 25 ans." - Il faut vraiment être PAOiste amateur pour écrire ça!

1.400€? Hahaha...

avatar PePeLaJoie | 

Fabuleux, QXP10 génère des codes QR composés de pixels! Quel progrès!

Génération de codes QR dans InDesign

Vous pouvez à présent générer et modifier des images de code QR indépendantes de haute qualité dans InDesign. Le code QR généré est un objet graphique haute-fidélité qui se comporte exactement comme une image vectorielle native dans InDesign. Vous pouvez aisément mettre à l’échelle l’objet et le remplir avec des couleurs. Vous pouvez également appliquer à l’objet des effets, de la transparence et des attributs d’impression, tels que la surimpression, les tons directs et le recouvrement. Vous pouvez copier-coller l’image du code comme objet graphique vectoriel dans un éditeur graphique standard, tel qu’Adobe Illustrator.

http://helpx.adobe.com/fr/indesign/using/generate-qr-code.html

avatar mbpmbpmbp | 

8,5 ? vous etes très généreux avec un logiciel qui fait payer très cher une mise à jour qui n'apporte rien de nouveau en PAO et qui rattrape uniquement son gros retard sur la concurrence. Ils sont largués chez Quark.

avatar PePeLaJoie | 

L'auteur m'a l'air surtout d'être pas très compétent pour parler de PAO de façon réaliste...

avatar denisquat | 

Il y a maintenant 2 ans lors de la sortie de la version 9, sur ce même site, j'avais écrit un post virulent en réponse à certains… je suis heureux de voir qu'aujourd'hui les choses évoluent et que l'on se rend compte de la médiocrité de ce logiciel. Je travaille tous les jours en édition (je suis photograveur) et récupère des fichiers divers et variés. Soyez sûrs que chaque fichier xpress amène son lot de contraintes, d'erreurs et de bogue réguliers et incompréhensibles !
Sans parler des différentes versions 8, 8.4, 8.5, 9, 9.2, 9.3 etc… qui ne sont même pas compatibles entre elles sans avoir des soucis de chasse de texte, problèmes d'habillage non respectés, couleur d'une gestion déplorable, d'export pdf aléatoire etc… etc…
Je ne comprends même pas comment l'on peut encore travailler avec ce logiciel !

Pour être chauvin : Xpress est au graphisme ce que windows est à l'informatique ; attirant, chatoyant mais farci de bogue et de problèmes !

Cependant, je me dois de le posséder et de savoir m'en servir car malheureusement certains n'ont pas encore compris les bienfaits d'InDesign… Mais cela me fait un nœud au ventre à chaque fois que je vois ce genre de fichier arriver.

Pourrait-on avoir le même article sur InDesign afin de connaître la note MacG… car si Xpress atteins les 8,5 quelle serait la note InDesign ?

Bon courage à tous

avatar YARK | 

"car si Xpress atteins les 8,5 quelle serait la note InDesign ?"

Bah, ayons un peu de recul, faut bien que MacGé vive...
Peut-être ce qu'on appelle en presse du publi-reportage ?
Cela n'enlève rien à l'info, de toute manière entre pros de la PAO, y'a longtemps qu'on a compris,
et pour faire aussi du prépresse, à chaque fois que je reçois du .qxp, je tends le dos...

avatar ludoholo | 

et rien sur la lenteur HALLUCINANTE de Xpress 10 ? que ce soit sous ML ou sous MAVERICK, avec ou sans la mise à jour ????

avatar brugees | 

Si si, j'en fais part dans ma conclusion sur noukicom. Curieusement, je n'avais de problème de performances sur mes doc fraichement créés. Mais en ouvrant un ancien doc, là, c'est le drame...

avatar Macmaniac_belgium | 

denisquat... Aujourd'hui un photograveur demande des Pdf à ses clients et ne s'emmerde plus à récupérer les fichiers clients. Par ailleurs, j'ai toujours récupéré les fichiers Quark qui merdouillaient, jamais ceux d'Indy.

Encore une fois, chaque logiciel est adapté à un type de travail et quark à de sérieuses armes pour certaines choses.

avatar denisquat | 

Bonjour,
une petite précision sur les mauvaises connaissances de certains…
Un photograveur ne reçoit pas des pdf clients sans s'emmerder…

Pour l'historique :
un photograveur traite les images et il y a quelques années faisait des films (cyan, mag, jaune et noir… ou pantone) à destination des imprimeurs selon la mise en page demandée par le client.
Ceci s'appelait du flashage ! et pour cela des techniques de traitement d'image, de typo et de mise en page étaient nécessaire.

Aujourd'hui :
Le photograveur reçoit et traite les images et vérifie les fichiers natifs pour la mise en conformité selon une norme d'impression ou "intention de rendu".
Cette intention de rendu est selon un type de papier, de presse offset ou autre technique d'impression.
Il génère les pdf selon ces caractéristiques techniques : c'est ce qu'on appelle le flashage numérique (en référence au flashage dit traditionnel sur film) en génèrent des pdf !!! Ces pdf sont épreuvés selon des normes d'impression avec diverses techniques de RIP (GMG, Kodak, etc…) Ces épreuves font foi pour l'impression et il engage la responsabilité du photograveur.

C'est pourquoi, dire qu'un photograveur ne s'emmerde plus aujourd'hui et demande des pdf à ses clients est l'aveu d'une méconnaissance du métier et de la chaine graphique ; ou alors une incompétence dans son métier… cela est classique chez les utilisateurs d'Xpress…

Je paraît peut-être un peu véhément, mais la perte de temps, d'argent et de confiance vis-à-vis des clients dus à des fichiers Xpress non conformes et vérolés me hérisse le poil ! Et ceux certifiant que ce dernier est un bon logiciel devraient prendre en compte tous les éléments et penser que les arts graphiques (pour ce qui me concerne) sont une chaîne où chaque participant se doit d'être en adéquation avec les autres acteurs.

Le moteur de génération PDF d'Xpress est obsolète depuis plusieurs années et la génération, non seulement est aléatoire mais en plus chronophage à souhait !

Bon courage pour la suite !

avatar IHOPE | 

ha ! les éternels rabat-joie ! Si xpress est si foireux, pourquoi perdez-vous autant de temps à le piétiner nerveusement ?
Ce faire tondre régulièrement par "ladaube" depuis des années avec des mises à jour tous les six mois et maintenant leur verser une rente mensuelle qui s’apparente à du racket… c'est mieux ? Allons messieurs, resaisissez-vous !
Au petit jeu de "moi je suis un vrai professionnel", cela fait 25 ans que je suis dans le prépresse et ce qui me navre le plus aujourd'hui, ce n'est pas tel ou tel logiciel qui fait mieux que l'autre, c'est le nombre croissant de blaireaux qui ne connaissent plus le métier.
Dénigrer, même le site qui permet de vous exprimer (de vous lâcher) n'est en rien positif.
Mettez plutôt votre énergie au service d'une réflexion sur comment ne plus obéir aveuglément à un système exclusivement marchand !
Cordialement vôtre.
Denez.

avatar Macmaniac_belgium | 

Ca fait juste 19 ans que c'est mon boulot.... sinon ça va.
Tout le monde génère ses PDF avec avec Acrobat y compris depuis depuis Quark.

Bref... voilà quoi...

avatar IHOPE | 

ha ! les éternels rabat-joie ! Si xpress est si foireux, pourquoi perdez-vous autant de temps à le piétiner nerveusement ?
Ce faire tondre régulièrement par "ladaube" depuis des années avec des mises à jour tous les six mois et maintenant leur verser une rente mensuelle qui s’apparente à du racket… c'est mieux ? Allons messieurs, resaisissez-vous !
Au petit jeu de "moi je suis un vrai professionnel", cela fait 25 ans que je suis dans le prépresse et ce qui me navre le plus aujourd'hui, ce n'est pas tel ou tel logiciel qui fait mieux que l'autre, c'est le nombre croissant de blaireaux qui ne connaissent plus le métier.
Dénigrer, même le site qui permet de vous exprimer (de vous lâcher) n'est en rien positif.
Mettez plutôt votre énergie au service d'une réflexion sur comment ne plus obéir aveuglément à un système exclusivement marchand !
Cordialement vôtre.
Denez.

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