Swift Mail, un nouveau client mail qui rappelle JMAP à notre bon souvenir

Stéphane Moussie |

Disponible depuis quelques semaines, Swift Mail est un nouveau client mail pour Mac qui cache bien son jeu. En apparence très proche d’Apple Mail, cette application se distingue par la prise en charge de JMAP, un protocole qui espère remplacer le vieillissant IMAP.

JMAP est une norme standardisée pensée pour offrir de meilleures performances que l’IMAP, permettre de nouvelles fonctionnalités et être facilement exploitable par les développeurs. Malgré tous ces avantages, ce protocole amorcé il y a dix ans ne décolle pas : les applications compatibles sont quasi inexistantes et parmi les services d’emails, seul Fastmail le prend en charge… Pour la simple et bonne raison que c’est son créateur.

Swift Mail. Image MacGeneration.

La sortie d’une application compatible sur Mac est donc un petit événement. Lors du démarrage, Swift Mail propose de se connecter avec un compte Fastmail (il ne faut pas saisir son mot de passe, mais un jeton d’API à générer dans les réglages de sécurité de Fastmail). On pourra prochainement se connecter avec un compte JMAP maison, puisqu’après tout on peut créer son propre serveur. Swift Mail se borne à JMAP, impossible d’y connecter un compte IMAP ou autre.

Comme nous utilisons Fastmail comme fournisseur de mail à MacGeneration, j’ai pu tester cette nouvelle application. On la confondrait presque avec Mail tant son interface est similaire. Codée avec SwiftUI et AppKit, Swift Mail est une application native légère, réactive et qui s’intègre bien à macOS.

Elle se différencie principalement de Mail par une prise en charge plus poussée de Fastmail. On a le choix entre l’organisation par dossiers ou bien par labels (des tags liés aux courriels). Swift Mail gère aussi les alias du service pour l’envoi et la réception des messages. Au niveau de la vitesse de synchronisation des statuts et des transferts, l'application me parait un tout petit peu plus rapide qu’Airmail (avec le protocole IMAP) que j’utilise habituellement.

Swift Mail. Image MacGeneration.

Lancée récemment, Swift Mail n’est pas encore aussi fournie que Mail ou d’autres. Quelques options de personnalisation sont là (réorganisation de la barre d’outils, nombre de lignes de texte dans la liste des messages…), mais il en manque pour la gestion des images notamment. Il faut à chaque fois cliquer sur une icône pour les afficher, ce qui est vite fatiguant. Cette option fait partie de la feuille de route du développeur. La fonction pour reporter des messages fait également défaut alors que Fastmail la propose sur le web. À savoir aussi que l’application ne télécharge pas l’intégralité des emails du compte Fastmail — c’est bien pour économiser de l’espace du stockage, mais ça peut être gênant pour une utilisation hors connexion.

Son unique développeur, Karl Northrup, prépare une version iOS, mais celle-ci devrait arriver après une version visionOS bientôt en bêta. Swift Mail est distribuée exclusivement dans le Mac App Store. Elle requiert un abonnement de 3,49 €/mois ou 28,49 €/an. Une période d’essai gratuite de 7 jours est disponible. Il faut ajouter à cela le prix de l’abonnement à Fastmail — un service que l’on recommande sans peine —, qui démarre autour de 5 €/mois.

En définitive, Swift Mail s’adresse à un public très restreint. Il faut non seulement être abonné à Fastmail, mais aussi utiliser ses fonctions spéciales pour que ce client mail ait un véritable intérêt. Quand bien même on fait partie de la cible, l’absence de version iOS et les lacunes de jeunesse peuvent être des défauts rédhibitoires. Swift Mail a malgré tout le mérite d’exister et d’animer un petit peu l’écosystème JMAP. C’est une application à suivre.

Interview : pourquoi FastMail veut remplacer l

Interview : pourquoi FastMail veut remplacer l'IMAP

Lire les commentaires →

Luminar Neo : une nouvelle ère pour la retouche photo avec la mise à jour de printemps 📍

Article sponsorisé |

Skylum, géant de l'innovation en matière de logiciels de retouche photo, a annoncé une refonte significative de son logiciel phare, Luminar Neo. Prévue pour le 25 avril, cette mise à jour promet de transformer l'expérience de retouche photo grâce à une série d'améliorations majeures et un nouveau design visuel.

D'abord et avant tout, Luminar Neo va subir une métamorphose esthétique pour mieux refléter l'identité de marque globale de Skylum. La refonte inclut un nouveau logo, une icône actualisée, une palette de couleurs rafraîchie, et des modifications stylistiques subtils à l'application de bureau.

Cette nouvelle identité visuelle vise à solidifier le positionnement de Skylum en tant que leader dans l'écosystème des applications de retouche photo.

Un flux de travail optimisé pour les photographes

Côté fonctionnalités, la mise à jour apporte une série d'outils avancés destinés à améliorer l'expérience utilisateur et à optimiser le flux de travail des photographes.

Parmi les innovations les plus notables, l'outil "Amélioration du Crépuscule" permet de recréer l'atmosphère magique des heures dorées et bleues de l'aube et du crépuscule avec des effets de couleur captivants. Grâce à un simple curseur, les utilisateurs peuvent ajuster l'intensité et la teinte de la lumière pour magnifier leurs photos de paysages et d'extérieurs.

L'outil "Amélioration de l'Eau AI" révolutionne également la manière dont les photographes peuvent interagir avec les éléments aquatiques dans leurs images. Il offre la possibilité de transformer visuellement l'eau de scènes naturelles, passant d'un étang vaseux à une eau cristalline et scintillante, tout en ajustant la couleur, la texture et la profondeur de l'eau.

Pour ceux qui travaillent avec de grandes quantités d'images, le "Lot HDR" est un ajout précieux. Ce nouveau feature permet le traitement par lots jusqu'à 1 000 images simultanément, optimisant ainsi le processus de retouche grâce à un système de bracketing dynamique et une organisation efficace par glisser-déposer.

La fonction "Sélection d'Objets" et le "Masquage de Luminosité" sont deux autres améliorations qui simplifient la sélection et l'ajustement précis de différents éléments et zones de luminosité dans une image, rendant le processus de retouche plus rapide et plus intuitif.

En parallèle à ces améliorations fonctionnelles, Skylum introduit une nouvelle catégorie dédiée exclusivement à la photographie de paysage. Nommée simplement "Paysage", cette catégorie regroupe tous les outils essentiels pour la retouche de scènes naturelles en un seul lieu, facilitant ainsi l'accès à des fonctionnalités populaires comme "Ciel AI" et "Atmosphère".

Des nouveautés gratuites pour ceux qui ont déjà Luminar Neo

Skylum propose une gamme flexible d'options tarifaires pour Luminar Neo, permettant aux photographes de choisir le plan qui correspond le mieux à leurs besoins et à leur budget.

  • Abonnement mensuel : Pour ceux qui préfèrent une flexibilité maximale, l'abonnement mensuel est proposé à seulement 9,95 €.
  • Abonnement annuel : Si vous êtes prêt à vous engager pour une année, le plan annuel est disponible à 59 €.
  • Abonnement biennal : Pour un engagement de deux ans, le tarif est encore plus avantageux à 99 €.
  • Licence à vie : À 149 €, la licence à vie représente un investissement judicieux pour ceux qui cherchent à sécuriser leur accès à Luminar Neo pour toujours, avec une seule et unique transaction.

En plus de ces tarifs compétitifs, Skylum offre une réduction supplémentaire de 10 % aux utilisateurs qui utilisent le code promo MACG lors de leur achat. C'est une occasion exceptionnelle de bénéficier d'un logiciel de retouche photo de pointe à un prix encore plus accessible.

Aussi, toutes ces nouveautés seront disponibles sans frais supplémentaires pour tous les clients de Luminar Neo. En outre, les propriétaires de l'extension Fusion HDR pourront bénéficier de la fonctionnalité Lot HDR dès sa sortie, que ce soit dans le cadre d'un abonnement ou d'un achat définitif.

Pour plus d'informations sur les fonctionnalités, les tarifs et les formules d'abonnement, les intéressés peuvent visiter le site de Skylum ou les plateformes de distribution digitale comme le Microsoft Store et l’App Store d’Apple.

Lire les commentaires →

Apple accusée par le Congo d’utiliser des minerais « exploités illégalement »

Stéphane Moussie |

La République démocratique du Congo accuse Apple d’utiliser dans ses produits des minerais « exploités illégalement », rapporte l’AFP. D’après l’État qui est un fournisseur important de matières premières, notamment de cobalt dont il est le premier producteur mondial, Apple recourt à des minerais provenant de mines congolaises au sein desquelles de nombreux droits humains sont violés.

« Après leur extraction illégale, ces minerais sont importés par contrebande au Rwanda, où ils sont intégrés dans les chaînes d’approvisionnement mondiales », affirment les avocats mandatés par la RDC dans leur dossier de mise en demeure, l’étape avant une éventuelle action judiciaire. L’avertissement formel a été adressé aux deux filiales françaises d’Apple ainsi qu’à la maison-mère aux États-Unis.

Des pièces Apple en attente de recyclage. Image Apple.

« La responsabilité d’Apple, et au-delà des grands fabricants de high-tech, quand ils utilisent des minerais du sang, est restée depuis longtemps une boîte noire », déclarent à l’AFP les avocats William Bourdon et Robert Amsterdam. Il est question de « minerais de sang » (aussi appelés « minerais de conflit ») car la RDC accuse le Rwanda voisin de financer des groupes armés pour faire main basse sur ses ressources situées à l’est.

Dans un rapport publié en 2017 par l’ONG Enough Project, Apple apparaissait comme le chef de file du mouvement conflict-free visant à mettre en place des chaînes d’approvisionnement responsables dans les zones de conflit. Mais selon les avocats de la RDC, les précautions et les engagements pris par l’entreprise sont « notoirement insuffisants ».

« La société Apple semble s’appuyer principalement sur la vigilance de ses fournisseurs et leur engagement à respecter le code de conduite d’Apple, ainsi que les audits externes réalisés sur l’activité de ces fournisseurs. Or, tant ces fournisseurs que les entreprises d’audit apparaissent s’appuyer sur la certification Itsci [Initiative de la chaîne d’approvisionnement de l’étain, ndlr], dont les dysfonctionnements graves et nombreux ont été démontrés », affirme les conseils de l’État africain.

Interrogée par l’AFP, Apple a redirigé vers son dernier rapport annuel sur les minerais de conflit. L’entreprise y indique notamment avoir retiré l’année dernière de sa logistique 14 fonderies et raffineries qui ne voulaient pas se soumettre à un audit ou qui ne répondaient pas à ses exigences en matière d'approvisionnement responsable. Et d’ajouter n’avoir « trouvé aucun motif raisonnable pour conclure que l'une des fonderies ou raffineries [partenaires] au 31 décembre 2023 a financé directement ou indirectement des groupes armés en RDC ou dans un pays voisin. » Apple s’est par ailleurs engagée à utiliser 100 % de cobalt recyclé dans ses batteries d’ici 2025.

Lire les commentaires →

Qualcomm tricherait dans les benchmarks de ses Snapdragon X

Pierre Dandumont |

Dans un long sujet, nos confrères de Semi Accurate (généralement très bien informés) lancent une accusation contre Qualcomm : la société tricherait dans les benchmarks de ses Snapdragon X, dont la version Plus a été annoncée hier.

Quamcomm donne peu de détails sur ses puces, même dans les présentations officielles.

Charlie Demerjian explique d'abord que les présentations faites à la presse manquent de détails techniques, ce qui est un problème. Les amateurs de produits Apple ne tiqueront pas (la marque tend à donner peu de détails) mais pour les autres fabricants, d'Intel à Qualcomm, c'est assez rare de se retrouver avec si peu de détails. La marque américaine ne donne par exemple pas du tout d'informations sur le GPU des Snapdragon X en dehors de la puissance en téraflops ou évite d'indiquer comment sont organisés les cœurs. Ce n'est pas anodin : la variante Plus possède dix cœurs (douze dans les modèles Elite) et la façon dont ils sont désactivés et organisés peut avoir un impact significatif sur les performances.

Mais il jette surtout un pavé dans la mare : les résultats communiqués par Qualcomm depuis plusieurs mois seraient faux. Ce n'est pas totalement une première de la part de Qualcomm, et nous l'avons indiqué régulièrement dans nos actualités : la société tend à présenter aux journalistes des systèmes sur puce intégrés dans des appareils maison, sans laisser la possibilité de choisir les tests. Sur les smartphones, c'est un défaut habituel : les résultats obtenus sur le smartphone de référence que Qualcomm propose chaque année pour mettre en avant son flagship sont plus élevés que sur les modèles du commerce qui arrivent quelques mois plus tard. Dans les PC portables, le biais semblait déjà présent : il semble logique que Qualcomm soigne le refroidissement et optimise ses appareils de test pour les meilleures performances, quand les fabricants qui intègrent la puce ont parfois d'autres priorités.

Les résultats manquent de détails (image Qualcomm)

Mais pour Semi Accurate, le problème est plus important : les différents intégrateurs qu'ils ont pu interroger n'arriveraient pas à s'approcher de ce que Qualcomm obtient, avec des différences visiblement importantes. Ils indiquent que les résultats seraient parfois 50 % plus faibles que ce que Qualcomm a pu montrer. Certains parleraient même de « Celeron » pour qualifier les puces (le nom des CPU d'entrée de gamme d'Intel, notoirement lents). De plus, les performances sur l'émulation x86 seraient largement surévaluées et les résultats proches de ceux obtenus avec Rosetta 2 chez Apple seraient faux. Nos confrères parlent aussi d'une source chez Qualcomm qui aurait indiqué que la société triche.

Il faut par ailleurs noter que pour le moment, personne n'a pu réellement montrer des essais indépendants sur les PC portables équipés d'une puce Snapdragon X : Qualcomm a certes invité quelques journalistes à Hawaï pour présenter les PC, mais les tests étaient limités aux programmes installés sur les machines, et il s'agissait des modèles de référence. Les premiers vrais tests des PC ne devraient pas arriver avant le 20 mai, pour une sortie en juin. Nous verrons à ce moment-là si les allégations de Semi Accurate sont vraies et si les puces Snapdragon X tiennent leurs promesses.

Qualcomm dévoile un peu plus ses Snapdragon X, avec plusieurs variantes Elite et Plus

Qualcomm dévoile un peu plus ses Snapdragon X, avec plusieurs variantes Elite et Plus

Lire les commentaires →

iMazing 3 : le puissant gestionnaire d’iPhone et d’iPad se modernise

Stéphane Moussie |

Après avoir vécu une longue carrière, iMazing 2 laisse sa place à iMazing 3. Disponible sur macOS et Windows, le puissant gestionnaire d’appareils mobiles Apple a été revu de fond en comble. Son interface a été rafraichie, tout comme son code.

iMazing 3. Image MacGeneration.

iMazing 3 joue toujours le rôle de boîte à outils pour gérer finement son iPhone, son iPad, son Apple TV, son iPod ou, c’est nouveau, son Vision Pro. L’application se destine à ceux qui veulent contrôler leur appareil Apple avec plus d’options ou de facilité qu’avec le Finder ou iTunes. L’éditeur suisse DigiDNA a ajouté de nouvelles sections pour simplifier l’utilisation (Découvrir, Appareils, Outils) et apporté diverses améliorations aux outils existants.

iMazing 3 permet entre autres de faire des sauvegardes complètes ou partielles (on peut sauvegarder des applications individuelles), des transferts rapides de fichiers, des exports de photos ou d’autres éléments, des mises à jour, ou encore d’avoir des informations détaillées sur ses terminaux, dont l’état de leur batterie. Il y a aussi une facette dévolue aux entreprises avec des outils d’administration.

iMazing 3. Image MacGeneration.

L’application est en partie gratuite. Vous pouvez par exemple sauvegarder vos terminaux ou transférer jusqu’à 100 fichiers sans frais. Pour débloquer l’intégralité des outils, plusieurs offres sont disponibles. La licence perpétuelle pour un appareil coûte 44,99 € (le tarif est dégressif pour plusieurs appareils). Autrement, des abonnements débutent à 39,99 €/an pour cinq appareils. Des formules spéciales pour les entreprises sont également proposées.

Les utilisateurs d’iMazing 2 qui ont acquis leur licence après le 20 octobre 2020 peuvent passer à iMazing 3 sans rien débourser. Pour les autres, une remise promotionnelle de mise à niveau est disponible.

Lire les commentaires →

Studio génère un site local sous WordPress en un temps record

Nicolas Furno |

Studio est une nouvelle app pour le Mac conçue par Automattic, l’entreprise qui gère WordPress.com et bien d’autres projets. Son rôle est de créer un site web local, qui tourne évidemment sous WordPress, en un temps record pour simplifier le développement de nouveaux sites. L’idée n’est pas nouvelle, c’est la méthode utilisée pour gérer ce site en local qui l’est. Au lieu d’installer un serveur PHP, indispensable au CMS, et tout le nécessaire pour le faire tourner, Studio repose sur le projet Playground, qui consiste à faire tourner WordPress directement dans un navigateur web.

Grâce à cet ajout, créer un site WordPress en local n’a jamais été aussi rapide. On lui donne un titre, on choisit un emplacement pour stocker les fichiers et quelques secondes plus tard, le site est prêt à l’emploi. Il peut alors s’afficher dans n’importe quel navigateur sur l’ordinateur utilisé, grâce à une URL locale, et on peut commencer à modifier le site. Même si WordPress est modifié pour fonctionner via Playground, notamment pour que la base de données soit au format SQLite plus facile à gérer localement, il s’agit du CMS complet avec toutes ses fonctionnalités.

Studio en action : l’interface de l’app sert uniquement à créer des sites et ouvrir les pages d’administration dans le navigateur, ou alors les fichiers sur lequel le site repose dans le Finder, un éditeur de code ou le terminal. Image MacGeneration.

Le développement local peut ainsi servir à créer la structure et remplir le contenu d’un site qui repose sur l’un des thèmes par défaut, éventuellement modifié avec l’interface visuelle. On peut aussi utiliser Studio pour développer des thèmes et modules, avec un accès complet au code et l’accès à l’interface standard du CMS. La transition vers un serveur web, pour publier le site créé dans Studio, se fait en toute simplicité si on veut bien utiliser le service d’hébergement WordPress.com. Il faut alors saisir ses identifiants dans les réglages et d’un clic, on retrouvera son site en ligne.

Ce n’est toutefois pas une obligation, puisque Studio repose sur un WordPress au complet. Vous pouvez très bien préparer le site sur votre Mac, puis utiliser le dossier généré par l’app en guise de base pour l‘envoyer sur le serveur web. Il faudra aussi transférer les données dans la base de données MySQL, le plus simple étant alors peut-être de passer par l’outil d’export et import intégré au CMS. La solution clé en mains proposée par Automattic est évidemment la plus facile à mettre en œuvre, d’autant que les changements apportés côté Studio sont automatiquement synchronisés avec le serveur.

Studio est une app gratuite et open-source, dont le code source est distribué sur GitHub. Sous le capot, on est sur des technologies du web avec une majorité de code en TypeScript, une variante de JavaScript, qui tourne grâce à Electron. Réservée à macOS pour le moment, elle sera proposée aux utilisateurs de Windows dans un deuxième temps. L’interface est traduite en français et macOS 10.15 (Catalina) est nécessaire au minimum.

Lire les commentaires →

Vente flash sur de gros MacBook Pro M3 Max et iMac M3

Florian Innocente |

La Fnac a relancé une vente flash sur des MacBook Pro 14 et 16" équipés de M3 Pro et M3 Max ainsi que des iMac génération M3. Les réductions sont intéressantes alors que ces modèles ne sont toujours pas arrivés sur le refurb pour espérer mieux.

Lire les commentaires →

Pages