Pourquoi les produits Apple sont-ils si chers ?

Mickaël Bazoge |

Au printemps, Apple a augmenté le prix de ses produits en Europe, reflétant ainsi l’évolution à la baisse de l’euro face au dollar. Une pratique somme toute assez normale pour une multinationale américaine, mais à cette occasion il s’est opéré une bascule assez nette parmi les commentateurs de la chose Apple : pour beaucoup, les prix du constructeur sont devenus bien trop élevés.

L’Apple Store de Hangzhou.

Et cette perception ne s’est pas arrangée : à chaque lancement de nouveaux produits, les réactions de rejet liées aux prix pratiqués par Apple sont nombreuses et parfois véhémentes. Et cela concerne aussi bien le matériel que les accessoires (récemment encore, le dock pour Apple Watch a eu droit à une belle bordée de lazzis concernant son prix).

Cette sensibilité aux tarifs d’Apple n’est d’ailleurs pas l’apanage des consommateurs européens : aux États-Unis, on entend de plus en plus râler à ce propos, dans des termes tout aussi énergiques. Cette aigreur envers la politique tarifaire du constructeur s’appuie sur des éléments objectifs (Apple tient mordicus à sa marge grasse, par exemple), mais aussi sur des causes plus subjectives qui tiennent au glissement du positionnement de l’entreprise.

Apple évite la crise, pas ses clients

Il y a des raisons « logiques » qui expliquent cette mauvaise perception des tarifs pratiqués par Apple. La crise financière de 2008 suivie par celle de la monnaie unique, ont frappé tout autant les esprits que les portefeuilles. La situation économique en Europe n’a commencé à se redresser que récemment, et pour ce qui concerne la France, le paysage n’est guère reluisant.

L’argent que l’on gagne et celui que l’on possède ont pris plus d’importance : pas question de le dépenser n’importe comment. Les consommateurs sont à la recherche frénétique des bonnes affaires, encore plus qu’avant. Et les acteurs de certains marchés n’hésitent pas à en jouer : on l’a encore vu ces dernières semaines avec les promotions de Free Mobile et SFR, chacun rivalisant de rabais tous plus alléchants les uns que les autres.

Du côté d’Apple, il n’est pas question de faire des promotions, à l’exception du refurb, mais ce ne sont pas des appareils neufs à proprement parler. Apple a même mis fin au Black Friday l’an dernier, et le constructeur n’est pas prêt de revenir sur cette décision comme il l’a démontré en novembre — à la place, on a eu droit à la mise en ligne du guide d’achat de Noël.

Autre élément conjoncturel qu’Apple n’a pas manqué de prendre en compte : la baisse de l’euro par rapport au dollar. La monnaie unique a littéralement dévissé face à la devise américaine : début 2014, il fallait 1,4 $ pour 1 € ; deux ans plus tard, on est plus près que jamais de la parité entre les deux monnaies.

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Les prix d’Apple reflètent cette variation, d’autant plus visiblement que l’euro a rapidement baissé face au dollar. En mars tout d’abord : les MacBook ont vu leurs tarifs grimper de 100 à 300 €, certains accessoires ont flambé, même la facture du vénérable écran Thunderbolt s’est alourdie de 150 €

Le coup a été rude pour les portefeuilles, mais ce n’était pas terminé. Une deuxième salve est arrivée en mai, qui a concerné les Mac (jusqu’à 600 € d’augmentation pour les Mac Pro !), les options en BTO et de nombreux accessoires.

Comme à son habitude, Apple n’a pas fait dans la dentelle, même s’il faut reconnaitre que si on prend en compte la TVA dans les prix (les prix américains sont présentés hors taxe, ce que l’on omet parfois), les tarifs en euros sont assez proches de ceux en dollars. Et la « taxe Apple » que les Européens ainsi que le reste du monde (hors États-Unis) paient sur les produits du constructeur peut, si l’on est de bonne composition, être interprétée comme la couverture du risque de change…

Toutefois, ces hausses brutales ont renforcé l’impression qu’Apple se « gavait » sur le dos de ces cochons de payeurs européens. C’est d’autant plus vrai que le pouvoir d’achat des consommateurs du vieux continent n’a guère évolué. Il est néanmoins indéniable qu’il coûte beaucoup plus cher de s’équiper en produits Apple aujourd’hui qu’hier.

Une concurrence plus affûtée et moins chère

À ces problèmes sur lesquels Apple a finalement peu de prises (le destin de la monnaie unique ne se décide pas à Cupertino, et la crise n’est pas née au 1, Infinite Loop), s’ajoute une variable sur laquelle la Pomme a plus son mot à dire : le rapport à la concurrence. Il est de plus en plus difficile de justifier l’achat d’un smartphone dont le premier prix — 749 € — sera source de frustrations pour tous ceux qui voudront en utiliser toutes les capacités. 16 Go pour un mobile capable de filmer en 4K, c’est ridicule.

En forçant ainsi la main des utilisateurs à choisir un modèle moins chiche en stockage — les 48 Go supplémentaires sont facturés 110 € de plus —, Apple améliore certes sa marge, mais elle détériore une image patiemment bâtie au fil des ans et des innovations, selon laquelle elle serait aux petits soins pour ses clients. Mais comment l’être quand on bride autant le stockage ?

L’iPhone 6 face au Galaxy S6 Edge.

Apple conserve heureusement quelques arguments pouvant justifier la différence : iOS, l’écosystème applicatif ainsi que celui des accessoires, les services… Le constructeur sait aussi mieux que personne comment faire monter la sauce et maintenir le momentum autour de ses produits. Ça ne rate pas : l’iPhone continue de se vendre par palettes entières.

Mais le fossé qui séparait autrefois iOS d’Android se réduit. L’enregistrement 4K n’est depuis longtemps plus une nouveauté chez Samsung ou LG. Les Live Photos ont été étrennées par HTC dès… 2013. Les appareils photo de certains smartphones chinois sont capables de faire au moins aussi bien que l’iPhone.

Si la concurrence a toujours un train de retard sur des innovations comme 3D Touch ou le processeur A9, toujours aussi véloce, il faut reconnaître que plusieurs smartphones se montrent tout à fait capables en termes de performances, de possibilités, voire d’expérience utilisateur. Les Moto X de Motorola coûtent deux ou trois fois moins chers que l’iPhone, sans sacrifier les performances, la batterie, le stockage, tout en offrant une proposition singulière en personnalisation et design. On « reste » chez Apple pour l’attachement qu’on voue à la marque ou parce qu’on est fidèle à l’écosystème.

Le Nexus 6P de Huawei et Google : un écran plus grand dans un encombrement similaire à celui de l’iPhone 6s Plus — Cliquer pour agrandir

Mais Apple a tendance à fâcher ses fidèles les plus zélés en continuant de gratter trois francs six sous sur le stockage ou la capacité de la batterie, au profit d’une finesse qui n’est pas forcément tout en haut dans la pile des demandes récurrentes des utilisateurs d’iPhone.

Les consommateurs qui ne sont pas spécialement attachés à la marque trouveront des smartphones Android de qualité et performants à des prix plus proches de ce que leurs finances leur permettent en ces temps difficiles. Ils seront malheureusement assez mal aiguillés par ce genre d’article provenant pourtant d’une source respectable, qui présente des smartphones « haut de gamme » à 300 €, dont certains sont incapables de se connecter à un réseau 4G.

L’ensemble du marché tire inexorablement le haut de gamme vers le bas — si on ose dire—, ne laissant plus qu’Apple trôner au sommet. Tout cela renforce une image élitiste… qui n’est d’ailleurs pas sans déplaire au constructeur.

L’élite sied à Apple

Avec une marge qui tourne bon an mal an autour de 40 %, Apple fait deux fois mieux que les principaux leaders mondiaux du secteur du luxe : la marge de LVMH s’affiche à 20 % environ, Kering (ex PPR) est à 16 %. Choisir de comparer les performances financières d’Apple à ces deux géants du luxe n’est pas innocent, Apple multipliant les emprunts aux codes de ce marché. Quitte à s’aliéner des consommateurs qui n’ont pas forcément les moyens de leurs envies.

Angela Ahrendts lors de l’inauguration de l’Apple Store East Side — Cliquer pour agrandir

L’arrivée à la tête de l’Apple Store (le réseau physique et en ligne) d’Angela Ahrendts, transfuge de la marque de prestige Burberry’s, a contribué à transformer les boutiques du constructeur en temples du luxe — un luxe discret certes, mais qui vend des produits premium voire, pour certains d’entre eux, carrément inabordables.

L’Apple Store East Side de New York répond au nouveau cahier des charges de design de Jony Ive et d’Angela Ahrendts. Signe des temps : il est installé dans une banque.
Le nouvel Apple Store "flagship" de Bruxelles.

Des Apple Store de plus en plus luxueux, avec une image qui véhicule celle que veut bien se donner l’entreprise : haut de gamme donc, et aussi éloignée que possible des échoppes pousse-cartons. Cela a d’ailleurs toujours été, mais Ahrendts pousse carrément au prestige.

La Phantom va être vue

L’exemple de l’enceinte Phantom, dont Apple s’est assuré l’exclusivité de la distribution aux États-Unis, est symptomatique. Cette enceinte autonome et sans-fil développée et construite par le français Devialet est exceptionnelle par bien des aspects, mais aussi, et surtout par son prix : elle coûte en effet 2 000 $.

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Angela Ahrendts a découvert ce produit d’exception chez le patron de Salesforce, Marc Benioff. Après avoir rencontré Quentin Sannié, fondateur et directeur général de Devialet, elle est tombée sous le charme du produit. La Phantom sera donc présentée dans les Apple Store les plus prestigieux, ce qui ne manquera pas de contribuer à l’image grand luxe du réseau de boutiques… et par ricochet, sur celle d’Apple.

Angela Ahrendts est responsable non seulement des Apple Store physiques, mais aussi de la vitrine en ligne. Début juin, Apple a fusionné les pages de son site classique avec celui de la boutique. Cette nouvelle présentation flatte l’œil avec ses grands visuels et des espaces qui permettent de respirer (lire : L’Apple Store en ligne ressemble à l'application iOS). On est bien loin des sites d’e-commerce traditionnels, et c’est tant mieux : Apple, ce n’est pas Dell ou Darty.

L’ancienne présentation… — Cliquer pour agrandir
… et la nouvelle — Cliquer pour agrandir

Cette présentation épurée partage des points communs avec les menus des grands restaurants, où il est vulgaire d’afficher le prix en regard des plats. Mais à un moment ou un autre, il faut bien bien payer et la douloureuse peut être salée…

Ne pas afficher tout de suite la couleur des prix, c’est le cas aussi dans les Apple Store physiques depuis le mois de septembre. Les cartons ont disparu des tables, tout comme les iPad « présentoirs » : pour connaître le prix et les caractéristiques des produits, il faut se renseigner en utilisant la nouvelle application Prix (lire : Apple Store : l'application Prix en vidéo).

La pratique qui consiste à ne pas montrer les prix des produits, c’est une constante que l’on retrouve aussi dans les bijouteries et les magasins de fringues les plus luxueux. Ce n’est pas un hasard : Angela Ahrendts était la directrice de Burberry’s, après tout.

Chez Apple, comme dans les enseignes de prestige, parler d’argent, c’est presque vulgaire, on vend d’abord du rêve avant des produits. Cela valorise certainement le consommateur qui a l’impression d’être un privilégié, mais après dissipation de la poudre de perlimpinpin, il découvrira sous les paillettes un trou dans son compte en banque.

Une avalanche de produits

2015 n’a pas été de tout repos pour Apple, qui a multiplié les lancements de produits. En plus des traditionnels rafraîchissements des familles de Mac, nous avons eu l’Apple Watch au printemps, le MacBook Retina en mai, de nouveaux iPhone en septembre, l’Apple TV et l’iMac 21 pouces 4K en octobre, et l’iPad Pro en novembre.

À l’exception notable de l’Apple TV, toutes ces nouveautés sont proposées à des prix assez salés : 399 € minimum pour la montre connectée, 1 449 € pour le MacBook, 749 € pour l’iPhone, 919 € la grande tablette, 1 699 € le tout-en-un 4K. Tous ces produits font, à des degrés divers, la preuve que l’innovation n’a pas disparu chez Apple ; mieux encore : qu’elle conserve sa place centrale dans la dynamique du constructeur.

Pierre-Alexis Dumas, le directeur artistique d’Hermès, avec Jony Ive.

L’écran 3D Touch des iPhone 6s/6s Plus a exigé des « années » de développement. La batterie étagée du MacBook, les capteurs de l’Apple Pencil qui communiquent avec l’écran de l’iPad Pro, le gamut P3 des iMac Retina… Tout cela nécessite du temps, beaucoup d’argent, et un gros effort marketing pour expliquer et rendre ces technologies indispensables.

L’innovation, c’est de l’investissement à long terme qui va demander du temps à être rentabilisé. Et Apple n’étant pas une entreprise caritative, elle repasse évidemment la facture à ses clients. Quoi de plus normal… Le hic, c’est que cet effet d’accumulation de nouveautés contribue à l’impression de cherté.

Rendu d’artiste — Cliquer pour agrandir

2016 devrait être à cet égard un peu plus sage sur le front des nouveaux produits. Nous devrions avoir surtout des rafraîchissements de gamme : Apple Watch 2, iPad Air 3, Apple TV 5e génération, MacBook plus puissants… Du matériel plus performant, mais dont les prix resteront sans doute dans la lignée de leurs prédécesseurs, voire un peu moins chers pour certains (on pense au MacBook).

En dehors de l’iPhone 7, la grosse nouveauté finalement, ce pourrait bien être cet iPhone 6c de 4 pouces dont la particularité pourrait être son prix… plus doux (lire : Apple annoncerait l'Apple Watch 2 et peut-être l'iPhone "6c" en mars). De quoi renverser la vapeur et donner d’Apple une image un peu plus « budget friendly » ?

Un problème haut de gamme sur l’entrée de gamme

L’entrée de gamme, ce n’est pas trop le truc d’Apple. Le constructeur a toujours attaqué un marché par le haut, en déclinant ensuite les innovations sur les produits intermédiaires puis sur les plus abordables. Cela a un peu évolué cette année.

Mac : une entrée de gamme insuffisante

Le constructeur a bien tenté cette année de « lisser » ses nouveautés Mac : l’iMac 21 pouces 4K débute ainsi à 1 699 €, un prix « plancher » si on ose dire, qui peut éventuellement se justifier par ce superbe écran.

Mais la configuration vendue à ce prix est loin d’être un cadeau. Pire, elle ressemble à une mauvaise blague, tant le stockage est cacochyme et ralentit toutes les opérations (un disque dur à plateaux 5 400 tour/minute : il n’y a plus qu’Apple pour proposer un tel composant à ce niveau de prix). Indigne d’une entreprise qui dit placer l’expérience utilisateur avant tout le reste…

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de s’offrir un disque Fusion Drive 1 To pour la « modique » somme de 120 €… Sauf que là aussi, Apple ajoute l’insulte au ridicule en rognant sur l’espace dévolu à la partie SSD : il n’est plus que de 24 Go au lieu des 128 Go habituels. Il faudra dépenser 360 € pour un Fusion Drive de 2 To comprenant la dotation normale de SSD…

Ces économies bout-de-ficelle ne sont pas très sérieuses et elles renforcent une image de Picsou de l’informatique pas particulièrement glorieuse. Ce qui est encore plus vrai avec des machines dans lesquelles il est impossible de remplacer ou d’améliorer quoi que ce soit.

iOS plus ouvert aux petits budgets

Le raisonnement est un peu différent concernant iOS. Apple a fait des efforts cette année pour abaisser le coût d’entrée dans l’écosystème iOS, avec trois produits différents. L’iPod touch, avec son processeur A8 et un appareil photo de 8 mégapixels, est un produit qui ne manque pas d’intérêt : il est en effet capable de faire fonctionner sans aucun problème les applications et les jeux les plus gourmands, à partir de 239 € (lire : Test de l’iPod touch 2015).

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L’iPad mini 4, avec son design affiné, un processeur A8 et toujours ce superbe écran de 7,9 pouces est également une très bonne affaire à 399 € (lire : Test de l'iPad mini 4). On ne pourra ici que regretter les 16 Go de base du baladeur et de la tablette, qui commencent à être franchement justes alors que des jeux 3D un peu costauds dépassent souvent le giga. La fonction d’App Slicing, qui permet de télécharger le contenu au fur et à mesure de ses besoins est loin d’avoir produit tous ses effets.

Hélas, Apple ne fait pas la promotion de ces deux produits qui présentent pourtant un très bon rapport qualité/prix (mais qui ne collent pas avec l’image de luxe que tente de construire l’entreprise). Cette absence de communication est en phase avec le peu d’attention marketing qu’a consacrée le constructeur à ces appareils. L’iPad mini 4 a eu droit à 15 secondes de présentation lors du keynote de septembre et l’iPod touch s’est contenté d’un communiqué de presse. Bon courage d’ailleurs pour trouver le chemin vers la page du baladeur depuis la page d’accueil du site d’Apple (astuce : un tout petit lien est présent en bas à gauche de chaque page).

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Enfin, il y a le cas de l’Apple TV qui a inauguré cette année une nouvelle interface, une boutique d’applications et une télécommande à tout faire, aussi bien à jouer qu’à commander vocalement son contenu. À 179 €, difficile de ne pas être séduit par ce produit encore très jeune et dont le développement n’est, à bien des égards, pas tout à fait terminé.

Apple sur son nuage

Découvrir aujourd’hui qu’Apple pratique des prix élevés, c’est comme s’inquiéter que l’eau mouille ou que le feu brûle. Les produits du constructeur n’ont jamais été bon marché, mais ces tarifs peuvent généralement s’expliquer par une innovation technologique, un gain en productivité, un design original, ou un concept de rupture. Et si l’on est patient, toutes ces nouveautés excitantes finissent un jour ou l’autre par être intégrées au sein des gammes plus abordables.

La mesquinerie induite par la protection à tout crin des niveaux de marge, le lancement de plusieurs nouveaux produits à des prix d’introduction élevés, la conjonction de la crise économique et de la baisse de l’euro face au dollar, tout cela éloigne évidemment Apple des petits budgets. Sans oublier la nouvelle orientation « luxe » impulsée par la direction du groupe, Angela Ahrendts et Jony Ive en tête, dont l’Apple Watch Edition est sans doute le symbole le plus caricatural.

Marc Newson, Jony Ive et une amie, la bloggueuse fashion Audrey Tritto.

Apple se coupe-t-elle des utilisateurs aux budgets serrés, ou ceux qui ne veulent pas s’endetter sur trois générations pour acheter un nouveau Mac ? Si c’était le cas, le constructeur aurait complètement abandonné des produits comme l’iPod touch ou l’iPad mini. L’Apple TV est un peu à part : il défriche un marché prometteur, mais que personne n’a réellement réussi à moissonner pour le moment.

Il n’empêche : l’iMac, l’iPhone, le MacBook, l’Apple Watch, l’iPad Pro (et ses accessoires indispensables ou presque), tous ces produits sont indéniablement chers pour des prestations qui donnent parfois l’impression de faire du surplace, ou au contraire d’être surdimensionnées par rapport aux besoins réels des utilisateurs.

Image de une : montage MacGeneration, image de fond Nick Ares (CC BY-SA 2.0)

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#prix
avatar Chanteloux | 

Ben voyons! Question bizarre! Parce que Apple, comme d'autres marques dans tout, a su creer une image, ce qui dans ses prix elle peut inclure le produit, et en plus l'image.... une autre marque, qui ferait exactement les memes.produits, devrait les vendre au moins 25% moins cher.... Bref, Apple vend du vent, et les gens aiment ça. Quand le nom Apple perdra son aura, les.prix vont baisser, ou meme la marque disparaître... C'est à la limite de l'arnaque.

avatar cv21 | 

Ayant utilisé l'assembleur comme un naze d'ailleurs connu windows 3.1, 95, 98, NT4...etc.. j'ai toujours pourtant aimé le mac, les LC, Quadra, Macintosh...Pas de magasins, pas de logiciels, pas les moyens il a fallu du temps pour faire le choix de cet OS et de ses contraintes, sans regrets.

Apple a perdu mille fois son aura. La distribution de leurs produits me semble actuellement rassurante même si finalement ces produits sont marginaux sur le marché du PC. Un certain équilibre me semblait trouvé et v'lan une foutu hausse tarifaire et un positionnement Luxe (pour un tas de ferraille et de plastoc industriel c'est un peu fort), ère post PC vient chambouler cet équilibre.

Malgré ça, je trouve que cela ne retire en rien l'agrément des produits Apple. Si "vent" veut dire rêve inaccessible, c'est leur choix. Ce serait un retour à la situation de départ : windows truc alors que je préfère mac...rien de grave juste dommage.

avatar Lecorbubu | 

Bon article ! Le point que je souhaite souligné est le suivant : les prix augmentent mais la valeur ajoutée par rapport à la concurrence n'est plus ce qu'elle était. La majorité des keynote d'Apple tenues jusqu'en 2010 avait cette faculté à ringardiser le reste de l'industrie, tel ou tel marché stagnait ou était en difficulté, Apple apportait une solution pertinente à ces problèmes.

Aujourd'hui l'industrie tech fait du sur place à coup de com' de perf' technique; c'est un peu la course au ghz des processeurs dans les années 2000. Là, on propose des smartphone hyper fins, des diagonales de toute pointure, des hybrides, des tablettes qui font pc, des pc qui font tablettes, des montres à l'intérêt douteux... Comme si l'industrie tentait de faire des suggestions à tour de bras à sa clientèle mais que celle-ci s'en contente tout juste. J'ai l'impression que ces surenchères technologiques ne sont pas en phases avec les besoins du moment, on propose des choses si ça marche tant mieux, à l'inverse tant pis.

Technologiquement c'est formidable mais ça manque de vision. J'attendais avec grand intérêt le lancement d'un nouveau produit sans que Jobs n'y participe pour me faire une première idée de ce dont Apple est capable en terme d'innovation et j'avoue que ça me conforte dans un certains scepticisme. Certes les nouveaux produits ont pour certains mis un certains temps à s'instaurer, mais au bout de quelques mois ils se sont imposés comme des références du marché, ils avaient un sens dans la vie numérique du consommateur. Il y avait un avant et un après, tandis que là, l'Watch est un beau produit mais ce n'est pas en forçant la main à l'utilisateur que ça en fera un produit incontournable.

Apple garde pour elle sa cohérence matériel/logiciel de bonne qualité, les équipes d'Apple sont sans conteste brillantes mais la vraie question demeurante c'est, il y a t'-il encore des vrais visionnaires à bord ? Personnellement je paie aussi pour cette différence.

avatar poco | 

Tout à fait.

avatar Doctomac | 

"Certes les nouveaux produits ont pour certains mis un certains temps à s'instaurer, mais au bout de quelques mois ils se sont imposés comme des références du marché, ils avaient un sens dans la vie numérique du consommateur. Il y avait un avant et un après, tandis que là, l'Watch est un beau produit mais ce n'est pas en forçant la main à l'utilisateur que ça en fera un produit incontournable."

Vous racontez n'importe quoi. Au mois de janvier 2008, soit 6 mois après le lancement de l'iPhone, le téléphone s'était vendu à 4 millions. Je crois que l'on doit être au delà avec l'Apple Watch sur même période.

Que ce soit avant ou maintenant, l'iPhone ou l'Apple Watch, un nouveau produit prend du temps à se faire une place. Du fait de la situation actuelle de l'iPhone, se vendant par palette de millions, on a tendance à l'oublier.

Donc, avant de tirer des conclusions hâtives, regardons uniquement les faits et en les regardant, on se rend compte à quel point ce que vous dites est faux.

avatar Lecorbubu | 

Votre comparaison ne tient pas tellement la route non plus.Tout le monde sait que la clientèle d'Apple a largement augmentée lors de ces 7 dernières années. Vendre autant d'Watch aujourd'hui que d'iPhone en 2008 ce n'est pas tout à pareil, au vue du succès de la marque. Par ailleurs vous m'avez mal lu, mon propos est modéré en disant que certains produits mettent du temps à faire leur place, je ne les ai pas cités, l'iPad faisait aussi partie de cette catégorie.

Si l'on est un peu pragmatique, au delà même des chiffres, qu'est-ce qu'apporte la Watch que l'iPhone ne fait pas pour le moment ? Le tracking d'activités ? Plus de rapidité dans les usages ? Déverrouiller des chambres d'hôtels facilement ?
Il semblerait qu'il y ait plus de choses qu'elle fait maladroitement que bien. Les points d'interface sont confus, vous n'êtes pas sans savoir comment Apple s'est cassé la tête au moment de la conception de l'iPod pour simplifier au maximum et réduire un maximum les chemins dans l'interface. Ici les tests sont pour beaucoup unanimes pour dire que l'appréhension du produit ne va pas de soi. D'autres soulignent le côté doublon avec l'iPhone, la watch étant plus un objet pour qui a la flemme de sortir son iPhone de sa poche. Si c'est ça la nouvelle révolution du numérique on repassera. Tout le monde s'engouffre dans le juteux marché des objets connectés mais le public de masse se demande encore à quoi peut bien lui servir tout ça.

Je ne dis pas que la piste est mauvaise, les réponses sont encore maladroites, confuses, sans vision globale. Pour Apple, je critique sa position d'entreprise innovante qui était au par avant très probante, ce n'est plus le cas aujourd'hui, l'article présent en fait part, tout comme bien d'autres journalistes.

Vous me dites de regarder les faits, je veux bien mais quels sont-ils ? Apple n'a toujours pas clamé haut et fort le succès de son nouveau bijou, et tout le monde s'accorde pour dire que son succès semble relatif.

avatar Doctomac | 

Oh si elle tient la route car elle se focalise sur le produit. Vous pouvez avoir autant de client en amont d'un lancement de nouveau produit, un succès tout subjectif soit-il prend du temps à se mettre en place. Surtout qu'avant l'iPhone, on peut dire aussi qu'Apple s'était fait une clientèle déjà bien conséquente, large et hétérogène avec le succès colossal de l'iPod. Donc votre argument ne tient pas une seconde.

Je pense que comme beaucoup, vous sur-interprétez à la fois l'absence des chiffres de l'Apple Watch et la vison de ce produit par Apple. D'une part, oui on n'a pas les chiffres de l'AppleWatch mais justement je vous demandais simplement d'attendre un peu avant de tirer des conclusions en ayant à l'esprit le fait que l'iPhone a aussi pris du temps à faire sa place (ça c'est le fait). Au bout des 6 mois de vente de l'iPhone EDGE, comment qualifiez-vous le succès de l'iPhone ? Relatif, Total ?

D'autre part, je pense qu'Apple n'a pas lancé l'AppleWatch avec le même esprit de rupture comme ce fut le cas de l'iPhone. Justement, ils ont lancé ce produit clairement comment un compagnon de l'iPhone (du moins pour le moment). En d'autre termes, il n'ont jamais sorti l'AppleWatch dans l'esprit de révolutionner quelque chose mais plutôt pour consolider des usages avec un appareil en plus. Certes le produit a des défauts mais vous oubliez de dire que les critiques ont souligné aussi de nombreuses qualités.

avatar Doctomac | 

"Pour Apple, je critique sa position d'entreprise innovante qui était au par avant très probante, ce n'est plus le cas aujourd'hui, l'article présent en fait part, tout comme bien d'autres journalistes."

Je ne comprends pas cette phrase. Cet article (qui ne tient pas de la vérité absolue, loin s'en faut) ne dit pas que l'entreprise n'innove plus. Par ailleurs, l'innovation peut être faite par touche pour améliorer des produits et pas nécessairement que pour lancer un nouveau produit super révolutionnaire (force touch ou 3D Touch est sont de beaux exemples).

avatar Lecorbubu | 

Je suis plutôt d'accord dans vos propos. Peut-être que l'Apple Watch n'avait pas pour visé de révolutionner l'industrie, mais ça reste quand même le discours marketing d'Apple de le marteler à qui mieux mieux. Au par avant Apple avait une faculté à se démarquer significativement de la concurrence, elle donnait sa définition d'un produit, l'industrie s'en inspirait largement.

Apple a défini les codes de l'ordinateur personnel, Microsoft a emboité le pas. L'iPod a apporté une vraie valeur ajoutée au marché des baladeurs et surtout a proposé un nouveau type de marché pour la musique. L'iPhone a démocratisé le smartphone, l'interface multi-touch, sa présentation suscitant de vives réactions notamment chez les équipes de Google (http://www.engadget.com/2013/12/19/when-google-engineers-first-learned-about-the-iphone-what-we-h/). Quant à l'iPad, les premiers retours étaient sceptiques mais de la même façon le reste de l'industrie qui avait sortie précipitamment leurs tablettes en vue de l'introduction de l'iPad ont finalement revue leur copie dans les mois qui ont suivis. Ceux-ci présentaient des tablettes sous Windows sans que l'interface soit pensé pour l'usage mobile et tactile, ce que Steve Jobs avait bien compris.

Aujourd'hui qu'est-ce qu'on a ? Music ? Service prometteur mais qui ne fait qu'emprunter les chemins débroussaillés par Spotify, Deezer et autres Qobuzz. L'iPad Pro ? Une philosophie en échos à celle que Microsoft développe depuis quelques années. L'Watch ? Qu'apporte elle de plus que les autres produits sous android ? Les nouveautés sous iOS et OS X sont pour un certains nombres récupérés d'ailleurs. Là, sont mes faits.

Et je pense qu'on pourrait trouver d'autres exemples. À chaque Keynote les commentaires (des professionnels je précise) sont les mêmes, Apple se met au pas et par moment apporte quelques innovations intéressantes que vous avez citées. Mais franchement qui fut pris de court par l'Watch, l'iPad Pro ou encore Music ?

avatar Doctomac | 

Apple n'a jamais parlé de révolution avec son Apple Watch. Encore une fois, vous sur-interprétez.

De même que pour les autres produits que vous mentionnez. Apple a aussi le droit de s'adapter dans un marché donné (qu'elle a d'ailleurs changé considérablement) comme le font d'autres concurrents ou comme elle l'a toujours fait.

Apple Music est la réponse d'Apple à un marché qui se tourne vers la location de la musique. L'iPad Pro, qui n'a absolument rien à voir avec les déclinaisons des tablettes Windows, est un produit pour la conquête de nouveaux clients. Pour l'AppleWatch, la question n'est pas de savoir ce qu'elle apporte par rapport aux montres Android mais l'inverse, ce que les montres Android apportent à l'AppleWatch dans la mesure où les montres Android sorties en vitesse ont été bâties sur les rumeurs de l'AppleWatch. Apple n'a pas voulu "prendre de court" avec ces produits mais simplement renforcer, étendre, faire découvrir son écosystème et ses produits.

" Les nouveautés sous iOS et OS X sont pour un certains nombres récupérés d'ailleurs. Là, sont mes faits.
"

Ce ne sont pas des faits mais des mensonges. De nombreuses nouveautés d'iOS et OS X sont originales et quelque unes reprises en parties (souvent presque toujours avec des implémentations différentes) comme la concurrence s'est inspirée d'iOS et OS X massivement ces dernières années. Android est par essence une copie historique de iOS :

http://www.engadget.com/2013/12/19/when-google-engineers-first-learned-about-the-iphone-what-we-h/

(C'est votre lien).

Et Windows, je n'en parle même pas.

avatar Lecorbubu | 

Pour l'Apple Watch je n'ai pas la foi de vérifier l'intégralité du discours marketing d'Apple à son sujet mais la firme a tendance à qualifier chacune de ses créations comme étant révolutionnaires des accessoires les plus quelconques à leurs meilleurs produits. Et si le mot n'est pas utilisé l'attitude est là. Mauvaise foi de votre part.

Mauvaise foi aussi dans le fait de ne pas reconnaitre qu'Apple pompe grandement sur la concurrence : centre de notification, mode économie d'énergie, interface du multi tâche entre apps, multifenêtrage de Windows, centre de contrôle, Siri pro-active et bien d'autres. Que dire de l'augmentation des diagonales de l'iPhone ? Alors que Samsung commence à sortir en grandes pompes son GSIII, Apple propose un iPhone 5 où les 4" sont présentés comme le stricte nécessaire à des fins ergonomiques et cela dans leur spot TV. Joli retournement de veste 2 ans plus tard avec l'iPhone 6 et plus, n'allez donc pas dire qu'Apple ne copie pas le chemin emprunté par d'autres.

Apple n'est pas plus à blâmer que les autres étant donné qu'ils font la même chose. Le marché est comme ça en ce moment, tous les acteurs se copient mutuellement, de temps un temps l'un ou l'autre propose une innovation réellement intéressante mais globalement ça stagne. Apple a le toupets de se présenter comme l'acteur le plus dynamique sur ce créneau là, c'est faux. Ils ont de très bonnes idées, proposent de belles avancées mais ils ne sont plus seul à le faire.

Pour indication je ne suis absolument pas anti-Apple, je suis sur Mac depuis 8 ans, possède un iPhone depuis 2013 et dont je suis très satisfait. Mais ça ne m'empêche pas de rester critique quant au constructeur, à voir ce qui se fait ailleurs, à comparer, à voir que d'autres aussi ont de bonnes idées et qu'effectivement Apple marque de moins en moins la distance par rapport à ses concurrents. Et je continue de penser que leurs produits sont de qualité, juste moins innovants.

avatar Doctomac | 

C'est quoi une attitude sans les mots. Si ne vous n'arrivez pas à démontrer vos propos, corrigez les ou ne les écrivez pas.

Ah oui Apple pompe grandement sur la concurrence ? Mais qui donc a inventé les notifications et qui a copié (c'est sûr que c'est alors simple de proposer un centre de notification avant), qui a copié le concept même de multitâche entre apps dans les OS mobiles et de quelle interface parlez-vous, qui a copié Siri (et surtout on imagine que la fonctionnalité d'Apple, qui est plus une amélioration de Spotlight que de Siri, est en développement depuis un moment), le multifenêtrage de Windows (???, précisez !). Car là c'est quand même énorme. Microsoft vient de copier sauvagement Expose, Spaces pour en faire une copie d'une autre fonction de OS X, à savoir Mission Control.

Quand à la taille d'écran, c'est complètement idiot de dire qu'Apple a copié une taille d'écran. Apple a toujours joué sur les tailles d'écran et avec l'iPhone, Apple a répondu à une demande. Oui Apple pensait que la taille idéale était de 4" mais face à la demande Apple a proposé des tailles plus grandes. C'est tout logique que ça.

Vous avez un Mac depuis 8 ans, moi depuis plus de 20 ans. Vous connaissez rien de l'histoire d'Apple si ce n'est la date fatidique de l'iPhone. Vous pensez alors qu'Apple a toujours fonctionné avec des innovations majeures à l'iPhone alors que c'est plutôt le contraire. Apple a plutôt fonctionné par des innovations plus ponctuelles et régulières. Ce n'est que quand cela a été possible de le faire qu'Apple a présenté des innovations majeures à l'échelle d'un produit tout entier.

Par ailleurs, les autres, ils font quoi ? Ah oui ils copient TouchID, ils copient le 3D Touch, ils copient les design d'Apple, ils copient son système d'antennes en bande, ils copient son trackpad, ils copient son clavier rétroéclairé etc. Vous voyez qu'Apple marque toujours de la distance par rapport à ses concurrents et pas besoin de révolution à la iPhone.

avatar Lecorbubu | 

Votre mauvaise foi me désole au plus haut point.

Vous semblez avoir une intolérance profonde pour les idées différentes des votre. Vous vous attachez à des arguments que je cite sans en apprécier la globalité, vous me contredites alors que je partage un certain nombre de vos pensées et vous ne vous en rendez même pas compte.
Les gens dont on doit le plus se méfier sont ceux qui pensent détenir la vérité absolue et qui ne laissent aucune place aux échanges de dialogues. Avec vous il est tout bonnement impossible de discuter sans que vous ne démarriez au quart de tour et deveniez agressif et insultant. Vous êtes méprisant.

Restez donc bien au chaud dans vos jugements de valeurs. Si vous vous sentez en phase avec vous même avec cette attitude tant mieux pour vous. Pour ma part je ne continuerais pas cet échange.

avatar Doctomac | 

Les vôtres (mauvaise foi, intolérance, vérité absolue) sont tout aussi impressionnantes et méprisantes.

À bon entendeur !

avatar Lecorbubu | 

Je ne pense pas, dans ce que j'étaye je vous donne aussi raison et à aucun moment ne vous ai traité d'ignorant, de compteur de bêtise ou quoi que ce soi. J'ai défendu ce je voulais dire et j'ai reconnu certaines justesses dans vos réponses.

Vous avez sans doute plus de connaissance que moi sur le sujet, je n'ai aucun mal à reconnaitre les lacunes de mes connaissances et je serai ravie que le débat soi prétexte à apprendre des choses mais avec vous ce n'est ni engageant, ni plaisant puisque vous ne respectez pas votre interlocuteur. La différence entre vous et moi, c'est que j'ai peut-être été borné dans mon raisonnement mais j'ai respecté votre propos et n'ai à aucun moment dénigré votre personne.

Au regret de vous contre dire, je n'ai été à aucun moment méprisant ni intolérant, contrairement à ce que vous dites, et à comment vous vous comportez.

Bonne soirée.

avatar jmg600 | 

Mon premier iPod, fourni avec une protection, mon premier iPhone fourni avec un dock.
Mon premier Mac, fourni avec dvd d'installation, chiffon pour écran ( pratique quand même )
J'ai du passer à la caisse pour protéger mon nano, je n'utilise pas de dock depuis le 6 car pas trouvé de bon modèle à pas chère, puis si je dois réinstaller un Mac, je vais devoir passer pas le téléchargement.

avatar CR_B | 

Bel article qui prouve le coté non fanboy du site.

L'angle de vu est intéressant.
Je trouve que ces derniers temps les machines ont de plus en plus l'air prévue pour des utilisateurs 'hype' (plus d'ethernet sur les MB Pro, un seul connecteur sur le MB, plus d’évolutions possibles sur une bonne partie de la gamme), en fait les prix ne paraissent pas délirant pour la partie basse de la gamme. Mais l’évolutivité la condamne a être des kleenex qui seront changés régulièrement.

Et au final la gamme intéressante pour moi, est celle qui n’évolue plus (MB air et pro non retina) qui risque de finir aux archives rapidement.
Sans cette gamme Apple risque de se couper de son public 'informaticien'.

avatar daxr1der | 

Se comparer aux produits de luxe est faux, ios 9 est une vraie merde, et un produit de luxe tient plus que 2 3 ans.

avatar XiliX | 

@Ast2001 :
Et il y a aussi un con écervelé comme toi qui se sent inférieur qu'il n'a que des insultes pour les autres...

avatar TmrFromNO | 

Ah mais Apple n'a jamais été, et ne sera jamais une marque de luxe qui a la classe et dont le nom impose le respect dans son secteur.
Ils peuvent alourdir les factures car ils sont hype avec leurs téléphones, mais derrière ils ont l'image d'une société qui fait de bons produits et c'est tout. Leur avantage c'est de pas faire du petit prix, et donc dans l'inconscient des gens, de ne faire que du très haut de gamme car plus cher que la moyenne.

Le souhait d'Apple serait d'avoir dans le multimédia la même image que possède Leica dans le domaine de la photo : une marque historique hyper réputée, connue pour innover depuis des lustres,qui bénéficie d'une image sans failles et des produits toujours parfaits, c'est service client au delà de toute attente et dont le nom fait rêver tous les utilisateurs, qui sont pour beaucoup prêts à lâcher 9000 euros dedans car ils savent que leur appareil va leur durer 20 ans et que la marque sera toujours là en cas de besoin (Leica a réparé gratuitement l'an passé celui de ma mère qui date de 1982 ... et qui a fait mes photos de naissance. J'ai juste du l'envoyer en Allemagne). Le jour où Apple fera ce genre de trucs, on parlera de luxe et de haut de gamme.

Mais Apple ne sera JAMAIS Leica, déjà parce que tu peux pas avoir une image de luxe en vendant des Chinoiseries, et parce que c'est une société qui n'a strictement aucune aura et aucune histoire/valeur historique. Elle a juste le vent en poupe actuellement et en profite niveau tarifs, rien de plus, mais jamais Apple ne fera du luxe et ne deviendra jamais une marque légendaire.

avatar Jacti | 

" jamais Apple ne fera du luxe et ne deviendra jamais une marque légendaire."
Apple est déjà une marque légendaire. Le premier Macintosh fait partie des objets cultes du XXème siècle :
http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/schroder-sievers/objets-les-objets-cultes-du-xx-siecle,1237117.aspx
Et les dix objets cultes d'Apple, laissés par Steve Jobs : http://www.mensup.fr/hi-tech/informatique/d,50313,la-saga-d-apple-10-objets-cultes-laisses-par-steve-jobs.html
Renseignez-vous avant de poster n'importe quoi par fanatisme anti-Apple. Soyez objectif.

avatar TmrFromNO | 

Apple est tout sauf une marque légendaire, contrairement à IBM par exemple dans le secteur.
Apple a juste eu un patron charismatique, ça n'en fait pas pour autant une marque dont le nom a traversé les âges, et je doute que dans 150 ans ils soient toujours debout.

avatar patrick86 | 

"Apple est tout sauf une marque légendaire, contrairement à IBM par exemple dans le secteur."

au sens français courant du terme, ni Apple ni IBM ne sont légendaires, effectivement, puisqu'elles existent concrètement.

Mais au sens latin du terme, c'est-à-dire "qui mérite d'être lu", Apple est une histoire légendaire.

Enfin, et bien que les geeks aigris ne cessent de le nier depuis 40 ans, Apple a apporté un certain nombre de choses à l'informatique.

avatar jazz678 | 

@patrick86 :
Qui a dit qu'il faut ne plus exister pour être une légende ?
Au sens courant du terme, "légendaire" signifie "connu de tous", "célèbre"

avatar patrick86 | 

@jazz678 :

"Qui a dit qu'il faut ne plus exister pour être une légende ?"

J'en sais rien. Pas moi en tout cas.

avatar jazz678 | 

@patrick86 :
J'avais cru...

avatar TmrFromNO | 

Histoire basée sur un gros fake ouais (le garage). J'imagine que ça participe à la "légende" cet énorme mensonge ....
Personne ne dit qu'Apple est une mauvaise société, mais elle est encore extrêmement jeune et n'a pas vécu grand chose encore. Elle est plus connue pour son PDG que pour sa qualité intrinsèque en tant que société.
IBM c'est une marque qui parle à tout le monde même si elle a aujourd'hui disparu du domaine grand public. Pourtant, pas grand monde pourrait citer un de ses dirigeants historique.
Apple est par contre intrinsèquement liée à Jobs. Sans lui, l'entreprise n'a aucune aura faut l'admettre. C'est un mec que je peux pas blairer, mais il a fait rayonner son entreprise autant qu'un Bill Gates.

avatar patrick86 | 

"Histoire basée sur un gros fake ouais (le garage). J'imagine que ça participe à la "légende" cet énorme mensonge ...."

Non, je ne fait aucunement référence à cet épisode, mais à l'ensemble de l'histoire de l'entreprise, sa construction, son évolution, les idées de ses fondateurs et divers "architectes" qui y contribuent encore aujourd'hui, et ce que l'entreprise apporte à son secteur.

Apple n'a pas besoin d'être une IBM pour que son histoire soit intéressante.

Quel intérêt pourrait-il y a avoir à lire l'histoire d'Apple si s'était la même qu'IBM ?

L'entreprise est certainement "jeune" par rapport à d'autres, mais elle est quasi le seul fabricant d'ordinateurs personnels des années 78-80, encore en activité aujourd'hui. Quasi tous les autres sont morts ou ont vendu.

avatar Doctomac | 

@TmrFromNO,

Apple a traversé près de 40 and d'histoire mais Apple n'est pas légendaire. Apple a marqué des étapes fondamentales dans l'histoire de l'informatique mais Apple n'est pas légendaire. Apple a continué à marquer l'informatique dans les années 90 sans Steve Jobs et actuellement les années 2000 sans Steve Jobs. Clairement, Apple est bien plus légendaire que IBM dans le secteur.

Un ignorant de plus.

avatar supermars | 

Bien que les prix soient un peu exagérés, ce n'est pas ce qui me gêne chez Apple actuellement.
De mon point de vue, le virage "luxe bling-bling" me dérange vraiment beaucoup, au point d'instaurer un certain malaise. Intéressé par l'Apple watch, je me refuse de me l'offrir à cause de la campagne marketing choisie (j'aurais l'impression d'être pris pour un con) et partiellement du design choisi.
J'espère une continuation vers des produits beaux et simples (mais plus complets), un peu comme le dernier Macbook.

avatar Danny Wilde | 

@supermars :
Je pense comme vous. Ce côté bling bling est exaspérant. Ce qui sur à la lecture de cet excellent article ( Bravo MacG) c'est qu'il y a un problème.

Je suis ok (mais difficilement financièrement) pour payer un IMac 27" à + ou - 3000€.
Mais comment effectivement comprendre qu'un clavier soit à 180€ ou un morceau de plastic (Bracelet Montre) a 60€ !!!!

Je veux bien tout à accepter mais la.

Apple lui même fait jouer la confusion !

De plus Angela et Cie sont une grande partie responsable du problème selon moi. Apple n'est pas Burberry : franchement quelqu'un peut me dire qu'elle est sa valeur ajoutée ? Elle a apporté quoi exactement ? À part la suppression du black fryday, les produits en exclusivité chez Colette, l'absence de carton en magasin ?
Elle est tout ce que j'abhorre (son image, par la personne )

Avec ou sans elle c'est pareil au niveau chiffre d'affaire. Par contre au niveau image c'est catastrophique pour nous les aficionados de la marque.
Je sais il y aurai une centaine de commentaires qui cloueront au pilori mon commentaire en la défendant mais au moins c'est dit !!!

avatar 789qwe2 | 

Pour accompagner mon iMac et autres, j'ai commandé un portable

PC MSI PX60, 15.6 pouces, i7, 16 Gb RAM, GTX950M, un graveur DVD, et deux disques internes, SSD + disque dur normal -> 1200 euros

Il est moins beau qu'un Apple, pas de "Retina", mais pas si moche que ça ; tout content de redécouvrir le monde Windows, tout a changé... c'est pas si mal et belle économie, le Macbook Pro m'aurait coûté le double environ.... qu'on va dépenser dans un iPhone 6S Plus :-) comme quoi... le Mac va crever, mais si :-) MSI

avatar MacMarc | 

C'est juste la preuve qu'il n'y a pas UN meilleur choix pour tous, mais que le meilleur choix est celui qui correspond le mieux à l'utilisateur.
Je note quelques points de comparaison (liste non exhaustive).

Positif pour le MSI::
+ Il est (nettement, 'faut avouer) moins cher
+ carte graphique est plus véloce que sur le MacBook Pro (bon, je ne suis pas un fana des jeux, donc ce dernier point n'est primordial pour moi tant que la carte graphique tient la route un minimum pour le montage vidéo).
+ Capacité de stockage/prix

Positif pour le MacBook Pro 15"
+ Meilleur écran, même si le MSI est bien noté.
+ Autonomie: le MSI offre un peu moins de la moitié du MacBook Pro 15" et moins de la moitié de mon MacBook Pro 13"
+ Puissance globale supérieure
+ Rapidité des SSD embarqués (malheureusement à prix d'or).
+ Qualité sonore incomparable des hauts parleurs intégrés.
+ Trackpad
+ Qualité de fabrication - design

avatar jazz678 | 

@Gueven :
"Depuis quelques année l'investissement est mineur en R&D"
C'est juste faux.
Apple a dépensé plus de 8milliards de dollars ces 14 derniers mois. Presque 2 fois plus qu'en 2013 et 3 fois plus qu'en 2011. Depuis 2005 les dépenses de R&D sont en constante évolution.
Macge a publié un article en octobre dernier sur le sujet.
https://www.macg.co/aapl/2015/10/rd-apple-depense-81-milliards-de-dollars-pour-assurer-son-avenir-91662

Si tu me relis bien tu verras que j'ai parlé d'innovation technologique et de services. Je mets le logiciel dans la 2eme catégorie.
Je parlais de R&D dans le sens global du terme.

avatar sonostalgeek | 

A force de prendre ses clients pour des pigeons, Apple va finir comme Nokia. Avant leur chute, ils étaient devenus arrogants, on voit où cela les a menés...

avatar jazz678 | 

@sonostalgeek :
Nokia a fini comme il a fini parce qu'ils auraient "pris les clients pour des pigeons"?

Ton analyse est assez simpliste...et fausse.

Sans rentrer dans trop de détails, les mauvais choix stratégiques de cette boîte notamment face à l'avènement des smartphones et de l'iPhone en particulier on fait le déclin de Nokia. Il ont notamment maintenu leur stratégie de téléphones low-cost malgré l'arrivée des smartphone.
J'assimilerait plus la situation de Nokia à celle de Kodak et l'arrivée de la photo numérique.

avatar jazz678 | 

@TmrFromNO :
Apple est et restera un acteur de référence dans le monde de l'informatique individuelle. Au même titre qu'un IBM ou un Microsoft, de par leur histoire et ce qu'ils ont apporté et continuent d'apporter (je parle de Microsoft et d'Apple).
Est-ce ça ta définition de "marque légendaire"?
IBM a peut être traversé les âges, traversée parfois peu glorieuse (collaboration avec le régime nazi) et est toujours debout mais chancelante depuis 4-5 ans avec des licenciements massifs prévus.

avatar TmrFromNO | 

Au contraire de Leica qui eux ont aidé beaucoup de Juifs à échapper à la rafle des Nazis en Allemagne. Ce genre de choses qui fait qu'une entreprise laisse une trace indélébile et une image mémorable dans l'histoire, participant à sa légende et son prestige. C'était la petite parenthèse par rapport à IBM :p

Apple n'a pas une réputation extraordinaire pour la qualité de ses produits, sa fiabilité, et autre. Ils font de bons produits mais n'ont pas encore laissé d'emprunte forte et durable pour leur image, à mon sens. Ils n'ont pas inventé grand chose non plus faut dire.

avatar Doctomac | 

"Apple n'a pas une réputation extraordinaire pour la qualité de ses produits, sa fiabilité, et autre."

Vous racontez n'importe quoi. Apple a toujours eu la réputation justement de faire des produits d'excellente qualité en terme de finition et de qualité de fabrication, bien au dessus de la concurrence. De même que pour la fiabilité, les différents études de fiabilité ont toujours mis à Apple en haut du classement.

avatar TmrFromNO | 

ipads airs 2 qui vibrent au point d'en devenir intenables, composants inégaux en qualité dans les macs (dalles et SSD), écrans qui jaunissent, iphones rayés en sortie d'usine ou ne captant pas le reseau et obligé d'utiliser une coque, iphones qui plient, revêtement retina qui se barre, plasturgie qui craquelle, SAV à chier la mort, conditions de travail de merde, etc ...

Merci, au revoir.

avatar Doctomac | 

On dirait un robot qui raconte les même conneries. Tiens je fais être aussi bête et reposter ici ma réponse que j'ai faite à ton commentaire identique posté plus loin :

"Quelle misère intellectuelle. Si on enlève les mythes comme l'iphone qui se plie ou les hors sujets comme les conditions de travail, il ne reste que des problèmes ponctuels qui ont touché quelques machines sur des millions produites et vendues.

Une société peut être la plus fiable possible, elle ne sera jamais à l'abri de défauts. Ce qui traduit le caractère fiable des produits d'une marque, c'est la fiabilité générale à travers son histoire et l'ensembles des produits qu'elle a vendus.

Des grands noms du luxe de l'automobile ont connu des déconvenues sérieuses (ou casseroles) dans leur histoire mais elles restent des compagnies qui produisent des voitures reconnues comme fiables."

avatar feefee | 

@TmrFromNO

"ipads airs 2 qui vibrent au point d'en devenir intenables, composants inégaux en qualité dans les macs (dalles et SSD), écrans qui jaunissent, iphones rayés en sortie d'usine ou ne captant pas le reseau et obligé d'utiliser une coque, iphones qui plient, revêtement retina qui se barre, plasturgie qui craquelle, SAV à chier la mort, conditions de travail de merde, etc ..."

En fait tu es ici une sorte de clone de BFMTV à la mode forum ...
Tu ne fais que relater des trucs que tu as lu ici ou la sans les analyser, mais aucune investigation personnelle et tu te permet tout de même d'en tirer des conclusions à l'emporte-pièce niveau zéro.

Tu ne sais pas de quoi tu parles.

Bref le digne représentant de ce que j'ai dit plus haut.
La critique sans analyse , sans reflexions, au tout venant .. Juste un défouloir perso .
Bref , DU VENT ! :-)

avatar Alberto8 | 

Par ce que vous le valez bien !

avatar mylo85 | 

Apple a toujours été une marque onéreuse. Steve Jobs l'avait rendu accessible grâce à quelques produits intéressants. Des modèles de luxe côtoyaient des modèles plus abordables et durables.
Il y avait beaucoup de pingrerie, comme aujourd'hui, mais cela passait grâce aux prix. On trouvait des Mac à moins de 1000 euros, voir guère plus.

Aujourd'hui l'entrée de gramme s'apparente à de l'arnaque et il n'y a plus grand chose d'abordable, surtout côté Mac. Le MacBook Air, reste dans l'ancienne grille tarifaire, mais il est hélas bridé soit par sa connectique soit par son SSD trop petit, soit par son écran non rétina (qui reste cela dit bien au dessus de nombreux pc portables guère moins chère).

Mention spéciale à l'abandon du Think Different qui se ressent aussi côté logiciel. Le flat design vu chez tout le monde est associé à un minimalisme à outrance. Mais comment peut-on ne pas regretter iPhoto et Aperture face à Photos ? Comment s'extasier devant iOS où toutes les apps se ressemblent désormais ?

L'entreprise a peut-être besoin d'une nouvelle grande crise pour se réveiller. Mais il n'y aura pas cette fois-ci de Steve Jobs pour sauver les meubles et donner des coups de pied aux culs bien mérités.

avatar ipfix8 (non vérifié) | 

Apple perd quelque chose de fondamental depuis la disparition de Steve Jobs: La confiance
J'en donne juste un exemple... 16, 64, 128 trouve le modèle manquant? et dis moi lequel c'est le mieux vendu dans la génération précédente. Las... tu as compris
Ma confiance s'érode et si la concurrence sort un produit innovant ce sera adieu pour très longtemps
PS j'attends les téléphones à modules (Ara)
Apple tu joues avec le feu, la confiance ca coute très cher (car un consommateur vit de plus en plus longtemps)

avatar Grēgórios | 

Très bon article comme on les aime.
Cependant, je pense que les variations du taux de change EUR/USD n'ont pas autant d'impact qu'on voudrait le croire (à part cosmétique dans les bilans consolidés). Une grosse partie de la trésorerie d'apple est en euro et reste en europe. Ce n'est pas comme si 100% des flux financiers étaient rapatriés en dollars.

avatar jazz678 | 

@TmrFromNO :
Je te parle de contribution au monde de l'informatique pas d'histoire de garage. Ça on s'en f...complètement.

"Apple n'a pas vécu grand chose"
Soit c'est du sarcasme, soit c'est de la méconnaissance ou pire de la mauvaise foi.
Peu d'entreprises on eu un tel impact dans leurs domaines. Peu ont autant révolutionné l'informatique individuelle de part leur capacité d'innovation et leur caractère visionnaire.

"Apple est plus connue par son PDG que par sa qualité intrinsèque en tant que société."
C'est vrai que personne ne connais les produits Apple ni ce qu'ils ont apporté à l'informatique
Bref...encore de la mauvaise foi

"Apple est intrinsèquement liée à SJ"
C'est vrai
"Apple n'a aucune aura sans lui"
Ça c'est faux. TC n'a pas débarqué chez Apple du jour au lendemain. Il fait partie des personnages clé. SJ est par essence lié à l'image d'Apple de par son charisme et puis qu'il en est le cofondateur.
Si l'aura dont tu parles signifie "rayonnement", Apple n'a jamais autant rayonnée que sous la gouvernance de TC, y compris sous SJ.

"Apple est extrêmement jeune"
Apple n'est pas une startup faut pas d'étonner. L'entreprise existe depuis presque 40 ans (idem pour Microsoft). Tout est relatif mais ce n'est pas ce que j'appellerai une entreprise extrêmement jeune

avatar TmrFromNO | 

Veille à ne pas confondre rayonner et faire des bénéfices.
Apple s'enrichit mais n'a jamais été autant critiquée pour la qualité en chute libre de ses produits et de sa politique tarifaire démesurée (surtout au vu de la qualité).
Même les sites spécialisés fanatiques en viennent à les tailler et à poser des questions inédites jusqu'alors sur les tarifs ou la qualité. C'est assez nouveau.
La Magic Mouse 2 et son mode "tortue morte" pour la recharger. Quel abruti chez Apple a pu avoir une idée à la con pareille? Jamais une entreprise un peu sérieuse n'aurait une idée aussi débile, et encore moins la valider. Tout pour le design, rien pour le pratique.

Apple est toute jeune comparée à d'autres entreprises, c'est encore un foetus.
Et c'est à Patrick que je parlais de garage, accessoirement. Pas à toi.

avatar Doctomac | 

"Apple s'enrichit mais n'a jamais été autant critiquée pour la qualité en chute libre de ses produits"

C'est factuellement faux !

Tu as un discours haineux typique du lecteur actuel de MacG. On peut se dire qu'Apple fait des erreurs (quelle entreprise n'en fait pas, IBM ton modèle en a fait beaucoup) mais dire que la qualité de ses produits est en chute libre, c'est raconter n'importe quoi.

avatar TmrFromNO | 

T'es au bord du suicide tellement je t'énerve à critiquer ton Apple chérie là non?

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