"Steve Jobs", le son de démarrage du Mac fait une bonne bande son
Une nouvelle bande annonce de 30 secondes destinée à la télévision américaine fait la promotion de Steve Jobs. Le film de Danny Boyle avec Michael Fassbender sur un scénario d'Aaron Sorkin sort aux États-Unis le 9 octobre, dans quelques salles d'abord puis partout dans le pays le 16 octobre (en France début janvier).
Cette fois, Universal a pioché quelques citations dans les articles de presse qui ont fait une critique élogieuse du film pour ponctuer sa vidéo (lire Steve Jobs : le film bien parti pour les Oscars). Et l'on constate que le bon vieux son de démarrage du Mac, au delà du clin d'oeil pour les afficionados, peut contribuer de manière efficace à une bande son…
Certaines bandes-annonces avant celle-ci en donnaient plus à voir, pour qui se fiche comme d'une guigne d'être spoilé.
Ce film a l'air d'être vraiment bon. J'irai sûrement le voir.
Moi aussi j'irais le voir.
Et pourtant, j'arrivais à saturation de la biopic Steve Jobs. Steve par-ci Steve par là, sans compter Steve en crème glacée, Steve et sa plaque minéralogique, Steve et son yacht, Steve en Syrie, Steve dans sa tombe, Steve se retourne, admirez la beauté de ce backflip 720 parfaitement executé, ...
Film pour geeks + sortie en France 3 mois après les States = va pas y avoir grand monde dans les salles en janvier :)
De toute façon on sait comment ça finit, alors à quoi bon...
@JIBB :
Ouais. Comme la vie. On connaît la fin alors à quoi bon ?
@yan73 :
Je me suis marré merci :)
@yan73 :
Ouais, très juste, aucun suspense, je me casse...
BANG !
@JIBB :
Alors, c'est comment après ?
Je suis sur le cul!
L'idée du Bruitage de démarrage relève vraiment du génie, l'effet est immédiat! et c'est même pas ironique
Danny Boyl, il ne peut être que bien
Euh... Question "spoil", de toute façon on sait déjà qu'à la fin il meurt !
Fassbender ressemble si peu à Jobs que j'aurai autant de mal à avaler cette pelloche que le film avec Ashton Kutcher.
Il n'y a qu'un seul Steve Jobs, et je l'ai vu à Paris en 2002.
Il n'y a qu'un seul Steve Jobs et je l'ai vu à Paris en 2002.
Fort heureusement, d'excellents acteurs ont joué dans d'excellents films sans pour autant ressembler aux personnages qu'il jouaient.
Pas la peine de devoir ressembler quasi trait pour trait, tel un sosie, à son personnage pour avoir déjà un pied dans la salle de réception des Oscars (si on se réfère uniquement aux USA). Je dirais même que ne pas (trop) y ressembler physiquement et réussir à faire illusion auprès des spectateurs, c'est une performance, un vrai jeu d'acteur. Celui qui se cache derrière son physique de sosie a bien moins de mérite.